Les recopier oui, mais définitivement pas en inventer.
Michel Hindenoch me l'avait pourtant dit : les contes sont des histoires qui traversent le temps. Mais pas par lettres sur papier, à travers la voix des conteurs qui redorent toujours ces récits millénaires. Et lors de notre entretient Myriam Pellicane enfonça le clou dans la main du Christ : le devoir d'un conteur aujourd'hui n'est pas d'inventer de nouvelles histoires, mais de faire vivre les anciennes. Je serais donc bien arrogant en prétendant rédiger des histoires capables de traverser le temps aussi régulièrement.
J'arrête donc d'écrire des contes.
Attention, cela ne veut pas dire que j'arrête d'écrire bien au contraire. Vous retrouverez donc les chroniques de mon esprit voyageur dans quelques mondes enchantées et autres contes audios. Mais pour l'heure je clot ce manège pour me concentrer sur ce qui compte vraiment, les contes, les vrais.
En remerciant Michel Hindenoch et Myriam Pellicane d'avoir bien voulu éclairer la lanterne de l'apprenti rêveur que je suis.
À fort vite dans le coffre d'Ilnuaj Draglen.
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