C'est sans tact plein de tiques
T'asticotant comme un essaim de tics
T'asticotant comme un essaim de tics
Voici l'hommage modeste à l'écriture automatique
Quand le stylo démange autant qu'une piqûre de moustique.
C'est une petite envie, mastoc et pas statique.
Explosive, comme un plein pain de plastique.
Ca te reprendra toujours un de ces quatre.
Quand te prendra l'envie de faire sauter la baraque.
S'il y a des virgules qui reposent dans tes tripes
Prends garde à toi, car quand ta muse t'attrape.
Elle s'amusera, à te faire recracher tes pages.
Elle te véhiculera, la vraie maladie du page.
L'écriture est automatique comme une arme de poing.
Avec laquelle on allonge les corps de phrases entre les poings.
Voilà pourquoi il faut avoir un carnet dans le holster.
Prêt dégainer la plume, paré à dépiter les austères.
C'est une écriture sauvage qu'on ne peut dresser.
Qui te fait cracher des messages, pas toujours censés.
Mais qu'importe, ce que les lignes colportent.
On cartonne des pages cartonnées et que l'écrit nous porte.
Oui, c'est ferme, c'est bref, comme un bon raffut.
C'est un fait, rarement raffiné dans de bons futs.
C'est un fruit de chaire ferme fraîchement périmée.
Parfois faisandé dégoulinant du périnée (pardonnez.)
Ce n'est pas toujours fin, et parfois franchement sale
Affligeant, et des fois, farouchement abyssale.
Mais en farfouillant fermement entre les ratures
On peut y trouver de vraies pépites d'écriture.
Tant pis si au final ça fini à la corbeille.
C'est toujours plus utile, que de brailler aux corneilles.
Le temps d'un tour de poignet, on a été un petit Pape.
Car cette écriture nous sert, surtout de soupape.
Quand le stylo démange autant qu'une piqûre de moustique.
C'est une petite envie, mastoc et pas statique.
Explosive, comme un plein pain de plastique.
Ca te reprendra toujours un de ces quatre.
Quand te prendra l'envie de faire sauter la baraque.
S'il y a des virgules qui reposent dans tes tripes
Prends garde à toi, car quand ta muse t'attrape.
Elle s'amusera, à te faire recracher tes pages.
Elle te véhiculera, la vraie maladie du page.
L'écriture est automatique comme une arme de poing.
Avec laquelle on allonge les corps de phrases entre les poings.
Voilà pourquoi il faut avoir un carnet dans le holster.
Prêt dégainer la plume, paré à dépiter les austères.
C'est une écriture sauvage qu'on ne peut dresser.
Qui te fait cracher des messages, pas toujours censés.
Mais qu'importe, ce que les lignes colportent.
On cartonne des pages cartonnées et que l'écrit nous porte.
Oui, c'est ferme, c'est bref, comme un bon raffut.
C'est un fait, rarement raffiné dans de bons futs.
C'est un fruit de chaire ferme fraîchement périmée.
Parfois faisandé dégoulinant du périnée (pardonnez.)
Ce n'est pas toujours fin, et parfois franchement sale
Affligeant, et des fois, farouchement abyssale.
Mais en farfouillant fermement entre les ratures
On peut y trouver de vraies pépites d'écriture.
Tant pis si au final ça fini à la corbeille.
C'est toujours plus utile, que de brailler aux corneilles.
Le temps d'un tour de poignet, on a été un petit Pape.
Car cette écriture nous sert, surtout de soupape.
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